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les analyses proposent, dans un format cours, une approche ouvrant un débat ou approfondissant un sujet lié à l’écologie politique. Si la rigueur de recherche est de mise, une analyse d’Etopia se veut toutefois rédigée dans un format accessible à tous.
Penser l’état-providence post-croissant
Dans cette note, j’affirme que la transformation vers une société post-croissance nécessite une nouvelle conception de l’action publique, une vision politique fondée sur le cercle vertueux de la protection sociale durable…
Véronique Clette-Gakuba : « Ce qui est posé comme un état de fait, c’est que l’africanité est inhérente à l’Europe »
“Ce qui s’observe aujourd’hui, c’est le dépassement d’un antiracisme institutionnel, d’un antiracisme d’État à la faveur d’un antiracisme décolonial et politique.”
Relancer l’aviation de masse est-il un crime d’Etat contre l’Humanité ?
L’industrie aérienne mondialisée est responsable d’environ 3% des émissions de gaz à effet de serre, mais son impact climatique est 2 à 4 fois plus élevé que ces seules émissions, et pourrait représenter plus de 15% du total mondial des émissions d’ici 20505, si les Etats ne décident pas d’interrompre volontairement sa croissance exponentielle…
Le Virus du changement ?
De quoi la crise du Covid-19 est-elle le nom et que révèle-t-elle de nous, de nos sociétés, de notre monde et de ses évolutions possibles ? C’est à ces questions qu’Etopia a voulu esquisser un début de réponse à travers le 15e numéro de sa revue.
Les périphéries : lieux d’expérimentation de l’autonomie par une écologie existentielle et ses communs
Par leurs marginalités et leurs discrétions, leurs environnements et leurs structurations sociales, les périphéries assurent les conditions d’une politisation des choix de vie, en creuset d’une critique sociale nourrie d’expériences métropolitaines contrariées.
Hydro-Electricité: énergie verte et renouvelable ?
Les graves questions éthiques et environnementales en matière de déplacement de population, de perte quasi-irréversible de biodiversité dans les plus belles rivières encore intactes au monde, et les inconnues sur les impacts réels sur le climat sont souvent escamotées. Pourtant, une bonne gouvernance est essentielle pour permettre à tous les acteurs de participer aux décisions en disposant d’informations transparentes et de scénarios comparatifs.
Rester castoriadien·ne ou maintenir le projet d’autonomie ? Bilan provisoire du Castoriadisme
Son projet d’autonomie, c’est celui de construire ensemble en articulant l‘individu et le collectif, la conscience et l’inconscient, la politique et l’économique « à nouveau frais », pour que chacun·e soit libre. Libéré·e des oppressions, en pouvant assumer, et partager de façon équitable, les contraintes qui pèsent sur toute existence humaine.
COVID-19: François Perl: « On mesure encore mal l’impact que le confinement va avoir sur la santé mentale de la population»
(…) On a une formidable opportunité de reprendre les choses à bras le corps et de remettre la santé mentale au centre des préoccupations. Pourquoi? Parce que la santé mentale, c’est le premier problème de santé de la population sur une vie. Une personne sur quatre connaîtra un épisode dépressif plus ou moins plus ou moins grave. C’est une opportunité à saisir parce que peut être que cette période de confinement va nous faire comprendre que le lien social est important, que le lien psychosocial est important et donc que peut être que on va pouvoir déboucher sur des positions politiques.
L’écologie politique comme matérialisme géographique
L’objectif de cet article est de proposer une conception de l’écologie politique telle qu’un matérialisme géographique. Que serait ce matérialisme, et pourquoi qualifierait-il l’écologie politique ?
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