Quels sont les ressorts culturels de cette double fracture anthropologique et écologique, de cette attaque au bien commun et à l’engendrement du monde ? Pourquoi une telle destruction des milieux de vie et des conditions de régénération des êtres ; une telle mise en marché des sources vitales : eau, gènes, semences végétales, animales et humaines ; un tel bricolage de vivants laboratoires, transgéniques et clonés ? Eléments de réponse avec Louise Vandelac , professeur titulaire de l’Institut de l’Environnement de l’Université du Québec à Montréal, chercheur au Centre d’études des interactions entre la santé et l’environnement (CINBIOSE), un organisme qui collabore notamment avec l’Organisation mondiale de la santé.


C’est la Stengers du Québec… sauf qu’à la base elle est sociologue… Avec une approche trans- et multi-disciplinaire, écosystémique, elle trace les contours (peu flatteur) de l’avenir de la santé.

Passionnant !

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