Les concepts de biodiversité et de développement durable peinent pas à faire reconnaître à la nature une place suffisante dans notre société.

A partir de quelques leçons tirées de l’expérience de conseiller d’un adjoint au maire de la Ville de Paris en charge de l’environnement, cet article suggère de rechercher du côté de la reconnaissance du caractère « vivant » des êtres humains un paradigme capable de mieux concilier l’humanité et la nature. Ce qui ne nous dispense évidemment pas de nos débats sur les normes sociales.

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