“Ma rencontre intellectuelle avec André Gorz s’est d’abord faite par la lecture de ses Adieux aux prolétariat. J’ai lu ce livre à mon retour en Belgique en 1980, après avoir terminé ma thèse à Oxford. Cela a été une véritable révélation. Il y a pour chacun, je crois, à un moment, un livre qui tout d’un coup nous marque particulièrement. Un livre qui articule mieux que nous ne pourrions le faire nous-mêmes un certain nombre d’intuitions que nous avons d’une manière relativement confuse. Pour moi, c’était ça Gorz.”
Copy and paste this URL into your WordPress site to embed
Copy and paste this code into your site to embed